Parent pauvre des politiques publiques, la culture, après la crise du coronavirus et des finances publiques, demeure l’un des secteurs les plus sinistrés.
Pourtant, la culture dite de proximité, c’est-à-dire celle qui va à la rencontre notamment des quartiers, des tribus, de la brousse, et les échanges culturels sont l’un des ciments de l’identité des Calédoniens. L’accord de Nouméa mettait d’ailleurs le développement culturel en avant, dans la communauté de destins qu’il entendait créer. La question est donc de savoir aujourd’hui si la culture est accessible aux Calédoniens où qu’ils soient, et de montrer ce qu’elle leur apporte, ainsi qu’à la société.
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