La présente proposition vise à prolonger le dispositif de chômage partiel spécifique mise en place pour répondre aux conséquences économiques des événements survenus en mai 2024.
Ce dispositif initialement prévu jusqu'au 31/12/2024, a permis d'atténuer l'impact économique des exactions pour de nombreux salariés et entreprises.
Ce prolongement jusqu'en mars 2025 est sous conditions (exigées de l'Etat) notamment : l'abaissement du taux de rémunération horaire brute de 70 à 50 %, la réduction du plafond applicable au montant brut du salaire horaire minimum garanti, passant de 2,5 fois à 2 fois ce montant.